lundi 28 mai 2018


Blida (Algérie ) 
Le Mausolée de Sidi Yakoub Echerif
Le fondateur de la ville des Roses était venu en 1532 sur les traces de Sidi Yakoub qu’il vénérait comme son maître spirituel. Il occupe, ainsi, une place importante dans l’histoire de la ville des Roses.
Qui était Sidi Yakoub Echerif ? L’homme qui le connaissait le mieux était son wakil, Mohammed Abed, disparu vers 1875. Ses souvenirs ont été consignés par Trumelet en 1887. En novembre et décembre 1839, alors que Blida était occupée, le site du « Bois sacré », qui occupait un espace de plus de 50 hectares, a été le théâtre de violents combats entre les troupes du général Duvivier et des détachements de l’armée de l’Emir Abd El-kader, sous le commandement de Si Mohammed Benaïssa El Berkani, khalife de Médéa. A la suite de ces attaques, Duvivier retourne ses colères contre la belle ceinture verte d’orangers et grenadiers qui entourait la ville blanche qu’il fait arracher. Il ordonne de détruire impitoyablement plus de 80% des oliviers millénaires qui bordaient la rive de oued Erromane à partir du quartier El Djoun (le Golf) jusqu’à El Mhalla El Kebira, l’ancienne dénomination du quartier Zabana.
Après l’occupation de Blida le 7 février 1839 suite à de sanglantes résistances, les troupes françaises réquisitionnent la mosquée de Sid Ahmed El Kebir, la première érigée en 1542, bâtie par des maçons andalous. Cette première mosquée, financée par Kheireddine Barberousse, était située sur l’actuelle place du 1er Novembre, dont il ne reste que le palmier. Ce lieu devint un hôpital où ont été entassés les blessés et les malades du corps expéditionnaire français. Plus tard, transformé en église puis en école avant d’être rasé pour accueillir la place d’Armes et le kiosque à musique. L’armée coloniale investit dans le même temps le jardin luxuriant de Sidi Yakoub. Les bivouacs sont alimentés par les oliviers séculaires. Le cimetière de Sidi Yakoub, dont il ne reste que la blanche kouba du saint homme, est saccagé. Les « chouahed » de marbre blanc gravés dans un style andalou seront utilisés pour le dallage du sol. Ce sacrilège aura de profondes répercussions chez les Blidéens qui informent l’Emir Abd El-kader.
Le 1er novembre 1839, le khalife de Médéa, Si Mohammed Benaïssa El Berkani, reçoit l’ordre de positionner ses troupes régulières pour enserrer la ville. Le 20 novembre, El Berkani, qui occupe Oued Beni Azza avec 800 réguliers, 600 fantassins et un millier de goumiers, attaque une importante colonne du général Duvivier qui achemine des armes et des vivres en provenance de Boufarik. Après ce coup de main, il trace à travers Ouled Yaïche et reprend les gorges de Cheffa pour rejoindre Médéa. Le 18 décembre, il revient avec une batterie de canons qu’il place à Bab Moussa dans les environs de Koudiet Mimèche sur les hauteurs de la ville. Il fait feu sur les positions des Français. La canonnade était médiocre, mais le but de la manœuvre d’El Berkani était une diversion pour permettre aux fantassins des Hadjout et Beni Salah d’encercler le bois de Sidi Yakoub et de tomber sur l’ennemi.
La légende donne au bois sacré une origine mystérieuse. En effet, de retour des Lieux saints, Sidi Yakoub décide de camper à l’endroit qu’il avait occupé à Blida trois ans auparavant. Mais ses éclaireurs n’ont pas réussi à le localiser en dépit des multiples recherches. C’est alors que le saint homme s’écria : « Voyez donc ! Les piquets de nos tentes sont encore fichés en terre et disposés dans l’ordre où vous les avez placés ». Il descend de cheval et fait une prière de remerciements en disant : « Oh Dieu Tout-Puissant ! Suis-je à ce point aveugle pour n’apercevoir que des arbres à l’endroit que Tu indiques pour finir ici mon chemin ? Par Ta Volonté, les piquets de nos tentes ont poussé pour devenir ces majestueux arbres afin que tout homme soumis à Ta Loi puisse trouver sous ses feuillages un abri contre l’ardeur du soleil. » Des jours et des semaines passent, Sidi Yakoub réunit ses fidèles pour leur annoncer sa décision irrévocable de finir ici son voyage. « Je sens la vie m’échapper, leur dit-il. Je laisserai mon corps ici, loin de mes ancêtres, partez et dispersez la nouvelle où que vous soyez qu’en ce lieu béni, la paix de l’âme sera assurée à tout voyageur fatigué par sa marche ».
A la prière du fejr, le saint homme est trouvé assis, en position de prière. Il était mort au petit matin. Sid Ahmed El Kebir, qui est venu plus tard sur les pas de Sidi Yakoub, aurait recommandé la « ziara » de Sidi Yakoub avant la sienne. Et durant des siècles, les Blidéens venaient tous les samedis en procession. Ils y entraient les pieds nus. La tradition sera brisée par les Français. En 1860, pour le voyage de Napoléon III en Algérie, Sidi Yakoub devint un jardin public. Un poète anonyme composera une kacida en l’honneur de ce pieux personnage, reprise par le grand maître du chaâbi Kamel Bourdib.

قصة المرأة العظيمة التي جعلت المقبرة وقفا لله تعالى
مقبرة العالية... مرقد الرموز الجزائرية / أكثر من 250 ألف قبر منها قبور للمسيحيين والجنود البريطانيين والأمريكيين من الحرب العالمية الثانية
مقبرة العالية تقع في ولاية الجزائر بين دائرتي الحراش و باب الزوار، تقدر مساحتها بـ 78 هكتارا بها أكثر من 250 ألف قبر غالبيتها للمسلمين و بها جهات أخرى مخصصة للمسيحيين و الجنود البريطانيين و الأمريكيين الذين قضوا في الحرب العالمية الثانية و قبور مخصصة للعمال الصينيين الذين توافدوا على الجزائر بعد سنة2000.
ومن ابرز الشخصيات الجزائرية المدفونة بها الأمير عبد القادر الذي أحضر جثمانه من سوريا عام 1966م، والمقاومة "لالا فاطمة نسومر" والرؤساء الراحلين هواري بومدين، واحمد بن بلة، والشاذلي بن جديد، وعلي كافي.
يعود اسم المقبرة لصاحبتها حمزة العالية التي جعلتها وقفا سنة 1928 مشترطة جعلها مقبرة مجانية للمسلمين.

قصة المرأة العظيمة التي وهبت أرض المقبرة

العالية حمزة ـ وفق ما ورد في صفحة أعلام الجزائر في الفكر والثقافة ـ هي امرأة صالحة وزاهدة جزائرية نايلية سميت باسمها مقبرة العالية المقبرة الرسمية التي يدفن فيها العامة بجوار الزعماء والرؤساء الجزائريون، ولدت سنة 1886 بمنطقة سور الغزلان ولاية البويرة وهي ابنة محمد بوترعة وفاطمة شعبان وكانت تعرف بثرائها الكبير وعملها للخير وكفالتها لليتيم ..تربت في منطقة سور الغزلان لأبوين ثريين جدا وكان لها أخ وحيد يسمى عيسى وأخت وحيدة تسمى حبارى، وعند وفاة والدهم اقتسموا ثروته وعملت في مجال التجارة لتتوسع ثروتها وتملك آلاف الهكتارات من الأراضي في العاصمة ومنطقتها وبوسعادة و الجلفة وغيرها ،.إلى جانب عملها كمسؤولة في مدرسة لتدريس البنات في سيدي عيسى المجاورة لمنطقتها أنشأتها بمالها الخاص قصد تدريس وكفالة البنات اليتيمات .

تزوجت من مدرس من بوسعادة اسمه كرميش محمد كان يشتغل في العاصمة كمدرس للغة العربية ولم تنجب في حياتها حيث كانت عاقرا. كانت ثروتها تعد بالمليارات وكانت تلبس كل أنواع الحلي حتى أنها عندما تدخل الأعراس تخطف الأنظار من جميع الحضور بسبب ألبستها وحليها ومجوهراتها الفاخرة ، وعند المواسم تقيم الولائم والذبائح للفقراء والمساكين وتكسوهم وتطعمهم ...وكانت تحظى باحترام جميع الناس وكلهم يثنون على فضلها وأخلاقها وكرمها حيث أنها كانت بحق أما حنونا للفقراء والمساكين وهي نموذج للمرأة الجزائرية الحنونة والمعطاءة. لم تحظ هذه المرأة بالرعاية الكافية من المسؤولين والمؤرخين الذين تجاهلوها أو تناسوها عن قصد أو غير قصد وكان بيتها مقصدا لكل من لا مأوى ولا مسكن ولا مطعم له. قامت العالية بمنح قطعة الارض إلى السلطات الفرنسية سنة 1928 بغرض جعلها مقبرة لدفن الموتى المسلمين مجانا وطلبت منهم أن يكتبوها باسمها والذي ما زالت تحتفظ به إلى اليوم وهذا بعد رجوعها من الحج الذي فقدت فيه والدتها هناك. تقول الروايات أنها ماتت مسمومة سنة 1932 من ذوي أهلها الذين دسوا لها السم من أجل السيطرة على أملاكها الطائلة ودفنت في مسقط رأسها ب سور الغزلان وكتب على قبرها الولية الصالحة العالية حمزة ولا أحد يعرف عن حجم أملاكها وأين ذهبت ومن قام بالاستحواذ عليها شيئا الى يومنا هذا.

vendredi 25 mai 2018

Médéa a eu de nombreuses et diverses appellations à cause de la succession de nombreuses civilisations et de peuplades d’origines différentes sur son territoire. Certains affirment que le nom de Médéa vient de Lemdouna, nom de l’une des tribus berbères (Sanhadja) et celui qui en fait partie est appelé El-Medi ou El-Medani, en rapport avec le métier qu’exerçaient dans le temps les habitants de la région, à savoir la fabrication des couteaux que l’on appelait El-Mada. D’autres disent que l’origine de ce nom remonte à l’époque Romaine durant laquelle elle s’appelait Lembdia, du nom d’une Reine Romaine qui a régné sur la ville au début de l’ère chrétienne. Elle a également pris le nom de Medias ou Admdekes, en raison du fait qu’elle se trouve à mi-chemin entre deux villes Romaines, en l’occurrence Thanaramusa Castra (Berrouaghia) et Sufsar (Amoura). Cette appellation lui a été attribuée en l’an 210, sous le règne de Sibten Sfar. Une a...utre légende raconte également que Médéa est un vocable berbère qui signifie l’altitude ou les terres situées en hauteur. Selon le Cheïkh Ben Youcef Sid Ahmed, il s’agit en fait de Mehdia, à savoir, la vieille ville ou l’ancienne ville, que les anges o
nt édifiée sur l’Atlas Tellien. Le nom de Médéa se trouve étroitement lié au Titteri, terme qui veut dire en grec le bouc, dont l’image a souvent été reproduite dans les médaillons grecs ainsi que dans la monnaie Tuter. Ceci en ce qui concerne le sens du mot Titteri en grec, quant aux populations locales, elles donnent au terme Titteri ou Itri, une autre signification, à savoir, le froid ou la glace, en raison du climat particulier de la région, en particulier les hauteurs qui dépassent 800 mètres d’altitude. Nous retrouvons également dans la zone Nord de Médéa, une montagne qui porte le nom de Titteri, qui serait en rapport avec la prolifération de troupeaux de chevreaux sauvages. Le Titteri représentait à l’époque un vaste territoire dont la superficie atteint 50.000 Km carré et qui s’étendait au-delà de Médéa jusqu’à la limite de l’Atlas Blidéen au Nord, et l’Atlas Saharien au Sud, alors qu’à l’Ouest il arrivait jusqu’à Ksar-Chellala, tandis qu’à l’Est, il se rencontrait avec la zone du Hodna (M’sila). Il comprenait en fait trois territoires distincts : le territoire montagneux, le territoire des hauts plateaux et le territoire des plaines

مقاومة الأمير عبد القادر
تمثل مقاومة الأمير عبد القادر مرحلة هامة من مراحل الكفاح المسلح للشعب الجزائري ضد الاحتلال الفرنسي في طوره الأول، فبعد مبايعة الأمير عبد القادر في نوفمبر 1832، وهو في عز شبابه شرع في وضع مشروع بناء دولة حديثة ،فكانت حياته مليئة بالإنجازات العسكرية والسياسية والحضارية.
ويمكن تقسيم المقاومة إلى ثلاث فترات
مرحلة القوة 1832-1837
عمل الأمير على توحيد صف مختلف القبائل حول مسألة الجهاد، وبسط نفوذه على أغلب الغرب الجزائري وأتخذ من مدينة معسكر عاصمة له وشرع في تنظيم المقاومة ، فاستولى على ميناء آرزيو لتموينها ، وشرع في تنظيم الجيش ، إضافة الى فرق المدفعية ودربهم على حرب العصابات ، وفي إطار التنظيم العسكري زيادة على توحيد الأوامر والقوانين العسكرية الدالة على الانضباط والصرامة في المؤسسة العسكرية مثل :
- وضع سلم تسلسلي للرتب العسكرية على النحو التالي : رقيب - رئيس الصف - السياف - الآغا. 
-قسم الوحدات الأساسية في الجيش النظامي إلى كتائب و تضم الكتيبة الواحدة مائة جندي.
-وسـع دائرة نفوذه إلى أنحاء أخرى من الوطن شملت جزءا كبيرا من إقليم تلمسان ومليانة والتيطري (المدية).
وتوسع نفوذ الأمير عبر الغرب الجزائري خاصة بعد انتصاراته العسكرية ، وقد كانت بطولته في المعارك مثار الإعجاب من العدو والصديق فقد رآه الجميع في موقعة "خنق النطاح" التي أصيبت ملابسه كلها بالرصاص وقُتِل فرسه ومع ذلك استمر في القتال حتى حاز النصر على عدوه، وأمام هذه البطولة اضطرت فرنسا إلى عقد اتفاقية هدنة معه عرفت باسم القائد الفرنسي في وهران وهي معاهدة "دي ميشيل" في عام 1834، وبهذه الاتفاقية اعترفت فرنسا بدولة الأمير عبد القادر، وبذلك بدأ الأمير يتجه إلى أحوال البلاد ينظم شؤونها ويعمرها ويطورها، وقد نجح الأمير في تأمين بلاده إلى الدرجة التي عبر عنها مؤرخ فرنسي بقوله: "يستطيع الطفل أن يطوف ملكه منفردًا، على رأسه تاج من ذهب، دون أن يصيبه أذى!!".

غير أن الجنرال تريزيل الذي خلف الجنرال ديميشال منذ عام 1835،لم يحترمها و حاول إيجاد الفرصة لمعاودة قتال الأمير و نقض معاهدة الصلح، و فعلا اغتنم فرصة لجوء قبائل الدوائر و الزمالة إليه . طلب الأمير من الجنرال تريزيل أن يرفع حمايته عن هذه القبائل ليعيدها إلى سلطته إلا أن هذا الأخير رفض ، فأستؤنف القتال من جديد حيث التقا في حوش غابة مولاي إسماعيل قرب مدينة سيق يوم 26 جوان 1835اين دارت بينهما معركة سيق ، انهزم فيها الفرنسيون. ثم التقيا مرة أخرى في معركة المقطع 27 جوان تكبدت فيها القوات الفرنسية هزيمة نكراء ترتبت عنها انعكاسات و آثار منها :
1-عزل الحاكم العام ديرلون والجنرال تريزل.
2-تعيين الماريشال كلوزيل حاكما عاما على الجزائر في جويلية 1835 وإرسال قوات كبيرة لمواجهة الأمير.
قام كلوزيل بمهاجمة معسكر عاصمة الأمير ، إلا أنه وجدها خالية فغادرها إلى تلمسان التي احتلها ، إلا أن جيوش الأمير بقيت تسيطر على الطريق الرابط بين تلمسان وهران، فأصبح الجيش الفرنسي محاصرا داخل أسوار المدينة. و لرفع الحصار ، قاد الجنرال بيجو حملة عسكرية كبيرة حقق على إثرها انتصارا في موقعه وادي السكاك سنة 1836، ولكن الأمير نجح في إحراز نصر على القائد الجديد في منطقة "وادي تفنة" أجبرت القائد الفرنسي على عقد معاهدة هدنة جديدة عُرفت باسم "معاهد تافنة" في يوم 30 ماي 1837، كانت فرنسا من خلالها تريد تحقيق الأغراض الآتية:
-التفرغ للقضاء على مقاومة أحمد باي في الشرق الجزائري.
-إعداد فرق عسكرية خاصة بحرب الجبال.
-فك الحصار عن المراكز الفرنسية.
-انتظار وصول الإمدادات العسكرية من فرنسا.
- مرحلة تنظيم الدولة 1837-1839
وعاد الأمير عبد القادر لإصلاح حال بلاده وترميم ما أحدثته المعارك بالحصون والقلاع وتنظيم شؤون البلاد، فاستغل معاهدة التافنة لتعزيز قواته العسكرية و تنظيم دولته من خلال الإصلاحات الإدارية والتنظيمات العسكرية الآتية:
1-تشكيل مجلس وزاري مصغر يضم رئيس الوزراء ، نائب الرئيس ، وزير الخارجية ، وزير الخزينة الخاصة و وزير الأوقاف - وزير الأعشار ، الزكاة، ثم الوزراء الكتبة وهم ثلاثة حسب الحاجة و اتخذت هذه الوزارة من مدينة معسكر عاصمة لها.
2- تأسيس مجلس الشورى الأميري و يتكون من 11 عضوا يمثلون مناطق مختلفة.
3- التقسيم الإداري للبلاد إلى ولايات وكل ولاية يديرها خليفة، وقسم الولاية إلى عدة دوائر و وضع على رأس كل دائرة قائدا يدعى برتبة آغا و تضم الدائرة عددا من القبائل يحكمها قائد ،و يتبع القائد مسؤول إداري يحمل لقب شيخ. 
4-تنظيم الميزانية وفق مبدأ الزكاة وفرض ضرائب إضافية لتغطية نفقات الجهاد وتدعيم مدارس التعليم…الخ.
5-تدعيم القوة العسكرية بإقامة ورشات للأسلحة و الذخيرة وبناء الحصون على مشارف الصحراء.حتى يزيد من فاعلية جيشه .
6-تصميم علم وطني وشعار رسمي للدولة.
7-ربط علاقات دبلوماسية مع بعض الدول .

-مرحلة الضعف 1839-1847
بادر المارشال فالي إلى خرق معاهدة التافنة بعبور قواته الأراضي التابعة للأمير، فتوالت النكسات خاصة بعد أن انتهج الفرنسيون أسلوب الأرض المحروقة، كما هي مفهومة من عبارة الحاكم العام الماريشال بيجو: "لن تحرثوا الأرض، وإذا حرثتموها فلن تزرعوها ،وإذا زرعتموها فلن تحصدوها..." فلجأ الفرنسيون إلى الوحشية في هجومهم على المدنيين العزل فقتلوا النساء والأطفال والشيوخ، وحرقوا القرى والمدن التي تساند الأمير. 
وبدأت الكفة ترجح لصالح العدو بعد استيلائه على عاصمة الأمير تاقدامت 1841، ثم سقوط الزمالة -عاصمة الأمير المتنقلة- سنة 1843 و على إثر ذلك اتجه الأمير إلى المغرب في أكتوبر عام 1843 الذي ناصره في أول الأمر ثم اضطر إلى التخلي عنه على إثر قصف الأسطول الفرنسي لمدينة طنجة و الصويرة (موغادور)، وتحت وطأة الهجوم الفرنسي يضطر السلطان المغربي إلى طرد الأمير عبد القادر، بل ويتعهد للفرنسيين بالقبض عليه. الأمر الذي دفعه إلى العودة إلى الجزائر في سبتمبر 1845 محاولا تنظيم المقاومة من جديد .
يبدأ الأمير سياسة جديدة في حركته، إذ يسارع لتجميع مؤيديه من القبائل، ويصير ديدنه الحركة السريعة بين القبائل فإنه يصبح في مكان ويمسي في مكان آخر حتى لقب باسم "أبا ليلة وأبا نهار"، واستطاع أن يحقق بعض الانتصارات، ففي عام 1846 و أثناء تنقلاته في مناطق الجلفة و التيتري مدعوما بقبائل أولاد نائل قام الأمير بعدة معارك مع العدو من بينها معارك في زنينة، عين الكحلة و وادي بوكحيل، وصولا إلى معارك بوغني و يسر في بلاد القبائل.
غير أن الأمر استعصى عليه خاصة بعد فقدان أبرز أعوانه، فلجأ مرة ثانية إلى بلاد المغرب، وكانت المفاجأة أن سلطان المغرب وجه قواته لمحاربة الأمير، ومن ناحية أخرى ورد في بعض الكتابات أن بعض القبائل المغربية راودت الأمير عبد القادر أن تسانده لإزالة السلطان القائم ومبايعته سلطانًا بالمغرب، وعلى الرغم من انتصار الأمير عبد القادر على الجيش المغربي، إلا أن المشكلة الرئيسية أمام الأمير هي الحصول على سلاح لجيشه، ومن ثم أرسل لكل من بريطانيا وأمريكا يطلب المساندة والمدد بالسلاح في مقابل إعطائهم مساحة من سواحل الجزائر: كقواعد عسكرية أو لاستثمارها، وبمثل ذلك تقدم للعرش الإسباني ولكنه لم يتلقَ أي إجابة، وأمام هذا الوضع اضطر في النهاية إلى التفاوض مع القائد الفرنسي "الجنرال لامور يسيار" على الاستسلام على أن يسمح له بالهجرة إلى الإسكندرية أو عكا ومن أراد من اتباعه، وتلقى وعدًا زائفًا بذلك فاستسلم في 23 ديسمبر 1847م.
المعاناة والعمل الإنساني :
في 23 ديسمبر 1847 سلّم الأمير عبد القادر نفسه بعد قبول القائد الفرنسي لامورسير بشروطه، ونقله إلى مدينة طولون، وكان الأمير يأمل أن يذهب إلى الإسكندرية أو عكا كما هو متفق عليه مع القادة الفرنسيين، ولكن أمله خاب ولم يف الفرنسيون بوعدهم ككل مرة، عندها تمنى الأمير الموت في ساحة الوغى على أن يحدث له ذلك وقد عبّر عن أسفه هذا بهذه الكلمات "لو كنا نعلم أن الحال يؤدي إلى ما آل إليه، لم نترك القتال حتى ينقضي الأجل". وبعدها نقل الأمير وعائلته إلى الإقامة في "لازاريت" ومنها إلى حصن "لامالغ" بتاريخ 10 جانفي 1848 ولما اكتمل عدد المعتقلين من أفراد عائلته وأعوانه نقل الأمير إلى مدينة "بو" PAU في نهاية شهر أفريل من نفس العام، ليستقر بها إلى حين نقل إلى آمبواز . في 16 أكتوبر 1852 .

ظل الأمير عبد القادر في سجون فرنسا يعاني من الإهانة والتضييق حتى عام 1852م ، ثم استدعاه نابليون الثالث بعد توليه الحكم، وأكرم نزله، وأقام له المآدب الفاخرة ليقابل وزراء ووجهاء فرنسا، ويتناول الأمير كافة الشؤون السياسية والعسكرية والعلمية، مما أثار إعجاب الجميع بذكائه وخبرته، ودُعي الأمير لكي يتخذ من فرنسا وطنًا ثانيًا له، ولكنه رفض، ورحل إلى الشرق.
استقر الأمير في استانبول، و التقى فيها بسفراء الدول الأجنبية، وخلال إقامته زار ضريح أبي أيوب الأنصاري و وقف في جامع آيا صوفيا، إلا أنه فضل الإقامة في مدينة بورصة لتاريخها العريق ومناظرها الجميلة ومعالمها الأثرية، لكنه لم يبق فيها طويلا نتيجة الهزات الأرضية التي كانت تضرب المنطقة من حين لآخر، فانتقل إلى دمشق عام 1855 بتفويض من السلطان العثماني.
وفي دمشق تفرغ الأمير عبد القادر للقراءة والتصوف والفقه والحديث والتفسير ، و أخذ مكانة بين الوجهاء والعلماء، وقام بالتدريس في المسجد الأموي كما قام بالتدريس قبل ذلك في المدرسة الأشرفية، وفي المدرسة الحقيقية.
وكانت أهم المواقف الإنسانية التي سجلت للأمير، تصديه للفتنة الطائفية التي وقعت بين المسلمين والمسحيين في الشام عام 1276/1860. فكان للأمير دور فعال في حماية أكثر من 15 ألف من النصارى، إذ استضافهم في منازله.

و تحول الأمير إلى شخصية عالمية تحظى بالتقدير و الاحترام في كل مكان يذهب إليه حيث دعي لحضور احتفال تدشين قناة السويس عام 1869.
توفي يوم 26 ماي 1883 في دمر ضواحي دمشق عن عمر يناهز 76 سنة، دفن بجوار ضريح الشيخ محي الدين بن عربي الأندلسي بالصالحية، و نقل جثمانه إلى الجزائر في عام 1966 و دفن بمقبرة الشهداء بالعالية

samedi 5 mai 2018

Ali Ben Aïssa de son vrai nom Ali Ben-Aissa El Fergani
(arabe : علي بن عيسى الفرقاني)
est un chérif Algérien originaire de Skikda devenu un calife (lieutenant) d'Ahmed Bey de Constantine durantl'occupation Française de l'Algérie. Exécutant aux ordres de son maitre, il s'est distingué dans sa lutte contre l'occupation des troupes françaises. Fils de Aïssa Mohamed el Fergani qui a été à la tête de plusieurs tribus. Il est connu pour son fanatisme, son courage et ses talents militaires.
Biographie:Jeunesse :
Ali Ben-Aïssa, exerce le métier d'armurier jusqu'à l'âge de 25 ans, et s'engage dans l'infanterie des zouaves au service du sultan Mahmoud. Ahmed-bey arrivant au beylik de la province, le remarque pour ses qualités militaires, lui confie ses écuries marque de confiance, et ainsi Ben-Aïssa gravit rapidement tous les échelons. Une de ses premières charges, est de traiter les fonctions administratives, judiciaires, financières, en tant queCaïd-el-Aouassi.
Calife
En 1831, pour écarter les indigènes influents de la région, le maréchal Bertrand Clauzel prévoit un gouvernement conduit par un prince venu de Tunis, pour la province de Constantine. Anne Jean Marie René Savary duc de Rovigo use de tous les moyens pour faire accepter la présence française, et monte les tribus les unes contre les autres.
Pour remplacerAhmed Bey de Constantine, le duc de Rovigo propose Farhat Ben Saïd, cheik du Sahara.
Pour éviter un continuel appel à la révolte des tribus, il propose un traité à Ahmed Bey.Sur ordre d'Ahmed Bey, Ben Aïssa et ses troupes se rendent en 1832 à Bône, pour rallier la population à sa cause et combattre l'occupation de la ville par les troupes françaises. Les habitants qui refusent la souveraineté du Bey de Constantine, demandent la protection de la France.
Les troupes françaises sous les ordres des capitaines Édouard Buisson d'Armandy et Joseph Vantini dit Youssouf, parviennent à s'introduire dans la ville après plusieurs attaques infructueuses. Ben-Aïssa abandonne la ville de Bône en obligeant la population à le suivre jusqu'à Constantine et en assassinant hommes et femmes qui refusent de se soumettre.
La ville pillée et incendiée sur ordre du calife, sera occupée par les troupes françaises.Ben-Aïssa, après avoir défendu courageusement par deux fois la ville de Constantine contre les troupes françaises, il cesse la guerre sainte et se soumet aux autorités en mai 1838. L'occupation française en Algérie qui se doit être une occupation restreinte et coopérante, le gouvernement conscient qu'il est nécessaire de confier la gouvernance des régions à des chefs indigènes influents, nomme Ben Aïssa Calife du Sahel (Nord), BelHamlaoui Calife de la Ferdjioua (Fedj M'zala), Ali Kaïd Calife des Harakta (Est), Ben Gana Cheik el Arab (cheikh des arabes) au Sud et Si Hamouda, Hakem (gouverneur) de la ville de Constantine.
Quelques années plus tard :Ben-Aïssa sera condamné à 20 ans de travaux forcés par le conseil de guerre de Constantine, pour contre façon de fausse monnaie.Bel-Hamlaoui aux galères pour trahison ;Hamouda, est destitué et dépouillé de tout ses biens ;Le Kaïd Ali, aura les mérites ;BenGana, Cheik-el-Arab est reconnu par la France.
Fin de carrière
En 1841, Ben-Aïssa est enfermé au fort Lamalgue àToulon, pour avoir frappé des pièces d'une valeur de 1 franc, mais sur ordre d'Ahmed bey, porté la valeur conventionnelle à 1 fr. 80, en obligeant les habitants à en racheter pour de grosses sommes. Sous l'occupation française, la valeur des réaux n'avait plus qu'une valeur de 1 franc. Ben-Aïssa, conservant ses emplois publics, et directeur de la monnaie du beylick, trafique avec les tribus pour mettre en circulation cette monnaie frauduleuse.
Du fort Lamalgue, il est conduit au fort de l'île Sainte-Marguerite (Îles de Lérins) en compagnie d'un autre calife nommé Ben-el-Hamelaoui. Son fils Ahmed-Ben-Aïssa demande sa grâce, et d'avoir le privilège de ramener ses deux femmes en France. Le privilège est refusé, mais Ben-Aïssa malade, sera écouté, par Nicolas Jean-de-Dieu Soult et obtiendra la grâce demandée.
La peine de travaux forcés, est commuée en vingt ans d'internement. Il sera conduit, suivi de sa caravane vers Montpellier. Il arrive le 14 octobre 1842, à Montpellier en résidence surveillée, et gardée par la police
صور 1) بن عيسى شابا, 2) بن عيسى, نهاية حياة صعبة للاسف.



dimanche 29 avril 2018


شبان فضلوا الاستشهاد على الشهادات العلمية 
تلامذة بن شنب يلبون النداء أفواجا أفواجا:

لقد سجل تلامذة ثانوية بن شنب أسماءهم في السجل الذهبي للثورة التحريرية، حيث لبوا نداء الإضراب عن الدروس وحتى نيل الاستقلال حسبما تضمنه نداء الإضراب، بالتحاقهم جماعات وأفراد بصفوف المجاهدين على مستوى أقسام ونواحي ولاية المدية الإدارية من بين تسع 
ولايات كانت ضمن الولاية الرابعة التاريخية، على أساس أن هذه الثانوية ذات الطابع الجهوي منذ تأسيسها 1873، لم تكن تضم تلاميذ من 
ولاية التيطري حينذاك بل من ولايات الوسط وبعض ولايات الجنوب، حسب ما أشارت إليه مجلة أشير في عددها الثامن الصادر في جانفي

2007، والتي
كانت تصدرها مديرية الثقافة با

انتصار للثورة وصدمة لفرنسا:
إن إضراب الطلبة والثانويين يوم التاسع عشر من ماي 1956 يعتبر دعما قويا للثورة التحريرية، وفي كل جوانب الكفاح المسلح على غرار العمل الثوري والتأطير السياسي والطبي، وهوما يؤكده الرائد سي لخضر بورقعة صاحب كتاب (شاهد على اغتيال ثورة) بشهادته (إن إضراب 19ماي والتحاق الطلبة بجيش التحرير الوطني في الجبال، يعتبر قفزة نوعية في عمر الثورة، حيث ساهم هؤلاء الطلبة بعد قضاء مدة وجيزة في التدريب في تأطير الوحدات العسكرية المختلفة والإشراف على المصالح المختصة للجيش كالاستعلامات والاتصالات وغيرها، وعلى الصعيد السياسي كان التحاق الطلبة في الداخل والخارج بصفوف جبهة التحرير الوطني عاملا إيجابيا في ربح المعركة السياسية والديبلوماسية، التي كانت تخوضها الجزائر آنذاك على الصعيد الدولي على وجه الخصوص)، كما أن العقيد وقائد الولاية الرابعة فيما بعد سي أمحمد بوقرة ثمن عملية الإضراب في رسالة إلى الطلبة والثانويين، حيث قال في ختامها حسبما مجلة الوحدة بمناسبة الذكرى الثلاثين لاندلاع الثورة التحريرية (..ولا يفوتنا أن نسجل إعجابنا وتهانينا بحيويتكم التي لم تتأخر نتائجها).
وبخصوص التلاميذ الملتحقين، فقد نال 11 طالبا الشهادة بين عامي 56 _ 1957 و30 آخرين بين 58 _ 1959 وستة شهداء سنة 1960 من إجمالي قائمة المجاهد محي الدين زمرلين ب47 شهيدا، أما المجاهد بشير رويس الذي كان ضمن مجموعة من التلاميذ تتكون من 23 فردا، بينهم مصطفى دقداق-محمد عنان _ شيكر جلول - بن صفاري - يحي كلاش - نهاب علي - مولود بن تركية وإمام إلياس...، وقد انطلق هذا الفوج من مدينة المدية واتصل بالمجاهد أحمد الوزري (من بلدية وزرة حاليا ب8 كلم شرق المدية)، والذي قام بدوره بإيصال الفوج إلى زاوية الوزانة بالأطلس البليدي، أين التقوا بمجموعة أخرى قدمت من ضواحي العاصمة من بينهم الشهيد عمارة رشيد - بن صابر - برويس- مسلي فضيلة ومريم بلميهوب.. أين تلقوا تكوينا في دورة تكوينية مكثفة تكوينا سياسيا وعسكريا، اختتمت بحضور شخصيات ثورية كعبان رمضان وبن يوسف بن خدة، إضافة إلى العقداء عمار أوعمران وصادق دهيلس والعربي بن مهيدي، كما أكده النقيب محمد بوسماحة في إحدى مداخلاته، وحسب الرائد لخضر بورقعة فإن إضراب 19 ماي 1956 يعتبر قفزة نوعية في عمر الثورة، حيث ساهم التلاميذ في تأطير الوحدات العسكرية والإشراف على المصالح المختصة للجيش، والتي تتطلب مستوى ثقافيا معينا كالاستعلامات والاتصالات والإعلام...وهذا بعد تلقيهم تدريبات مكثفة وفي فترة وجيزة.
الإضراب كان صدمة كبرى لفرنسا:
لقد زعزع التلاميذ الذين صاروا في لحظة من اللحظات الحاسمة في تاريخ الثورة التحريرية رجالا بمعنى الكلمة الإدارة الفرنسية التي لم تتوقع إطلاقا أن تقدم هذه الفئة العمرية الناهلة من كأس ثقافتها، على ترك مقاعد الدراسة والالتحاق بالثورة عبر الجبال الشامخات الشاهقات، وللحد من تفاقم الظاهرة حاولت إدارة العدو تطبيق مختلف الأساليب، لإقناع طلبة الجامعة وتلامذة الثانويات الحكومية بالعودة إلى مقاعد الدراسة، ومن بين الإجراءات المتخذة ما حملته وثيقة سرية صدرت في الخامس عشر أكتوبر 1957، عن المديرية العامة للشؤون السياسية والوظيف العمومي في الحكومة العامة بالجزائر للولاة، ومما جاء ضمنها (..وإذا اعتبرنا أن الدروس تكون قد استؤنفت بشكل طبيعي بالابتدائي والثانوي، فإنه لا يعقل أن يكون الحال كذلك في التعليم الجامعي، حيث أن كل الطلبة المسلمين المسجلين في جامعة الجزائر مضربون عن الدراسة والامتحانات منذ 19ماي1956)، وبعد أن لاحظت الوثيقة بأن الظروف الحالية مناسبة للشروع في أسرع وقت ممكن في حملة شاملة لإقناع المضربين بالرجوع للدراسة، فإن وثيقة ثانية تعترف من خلالها ذات السلطات على أنه في حال إقناع 100 طالب بالعودة، سنكون قد حققنا انتصارا على الصعيد السيكولوجي لا يستهان به في الظرف الحالي حسب ما جاء ضمن أحد أعداد جريدة الألف، لكن فرنسا فشلت في إقناع الطلبة بالعودة إلى الدراسة رغم سياسة الإغراء المتمثلة في المنح والمساعدات المادية والغرف بالحي الجامعي، أما تلامذة بن شنب فواصلوا الالتحاق بالثورة فرادى خلال السنوات 57 _ 58 _ 1959 وحتى 1960 حينما التحق بن قرطبي عبد الرزاق بصفوف الثورة بمنطقة موقورنو حيث استشهد بأحد المعارك الطاحنة بها عام1961.لمدية، غير أن القائمة الكاملة من حيث تواريخ الميلاد والمدينة المنتمى إليها والانضمام إلى المجاهدين وتاريخ الاستشهاد، الموجودة في أرشيف الثانوية والمسلمة من أحد التلاميذ الذين فضلوا البندقية على القلم مازال على قيد الحياة، فإنها تضم تلميذا فقط بن عمرة محمد (1936- 1956) من الأغواط، وكيوان محمد الصغير(38-1957) ومكسي إسماعيل (39-1957) من مدينة قصر البخاري، إضافة إلى كل من سعيدي بوبكر (38-1957) ومتيجي محمد (40-1958) وسلامي أحمد (38-1958) من مدينة البرواقية. أما باقي التلاميذ الملتحقين بالثورة فيبدو أن جميعهم من مدينة المدية.

jeudi 26 avril 2018


في التصدي لأهل البدع و الخرافات
كتب الشيخ الفضيل إسكندر هته الأبيات سنة 1934م
لقد حارب الدين قوما لا خلاق له .....................سيماهم الغش و التلبيس و الخدع
فأوهموا الناس أن الدين بدعتهم ........................ إلى أن أضحت كدين الله تتبع
صدوا ببدعنهم جمهور قومهم ................................عن دين ربهم فبئس ما صنعوا
شاب و شب عليها الناس فاستحكمت ..........................جذورها فيهم فكيف تنقلع
قطاع طرق لكن لا سلاح ....................................لهم إلا التملق و التميه و الخدع
حادوا عن الدين و العقل معا ........................فالدين ما سلكوا و العقل ما تبعوا
لكنهم تبعوا هوى نفوسه .................م حتى هووا في حضيض الشرك و اندفعوا
ضنوا ضلالتهم تدوم دولتها ................................و أنها تزال الدهر تتبع
لكن رحمة ربي قضيت فئة ................................قيادة هديها تخريب ما صنعوا
قد كشفت جهلهم للناس فافتضحوا ..................و اقهار مجدهم الموهوم و انقلع


samedi 7 avril 2018


 de l’Émir Abdelkader. Selon M. Michel Siorat, la présence de l’association EPI répond à un travail de mémoire pour mieux comprendre l’homme qu’a été l’Émir Abdelkader. “Notre visite, qui coincide avec le 50e anniversaire de la signature des Accords d’Evian, est aussi une manière de dire que la guerre d'Algérie a été une mauvaise guerre.” “Notre intérêt pour l’Émir procède de notre volonté de dépasser la vision étriquée qui a tendance à se construire sur les seuls faits d’armes. Nous travaillons sur les aspects humanistes de l’Émir qui a aussi été poète, homme de culture, fortement imprégné des préceptes du soufisme.”
La délégation qui s’est recueillie sur la tombe de l’Émir et visité les musées de l’Armée et du Moudjahid, se rendra, après Médéa, dans d’autres villes de l’ouest du pays, notamment à Oran et Tlemcen, sur les traces de celui qui a mené la résistance contre l’occupation française.
Un projet relatif au prêt d’objets ayant appartenu à l’Émir, entreposés dans les musées de la région de Lyon, est en discussion en vue de leur exposition dans la ville de Médéa. De la sorte, les associations des 2 villes vont sceller des relations de coopération et d’échange dans l’intérêt des peuples des 2 rives de la Méditerranée, a-t-on fait savoir.
L’ambiance a été des plus conviviales lorsqu’un membre de l’Association des amis de Médéa a surpris l’épouse du chef de la délégation en lui offrant une tarte hérissée de bougies à l’occasion de son anniversaire. L’Association des amis de Médéa, qui a eu l’initiative d’accueillir les membres de la délégation EPI, compte renouveler l’expérience avec d’autres associations dans le but d’asseoir des liens d’échange à caractère culturel et touristique afin de donner une image objective de la situation socio-économique de la région.

vendredi 23 février 2018

العلامة بن شنب: “هبة مغاربية كرّست وصال الأمة”
استقرت المنظومة الفكرية العالمية على أنّ قيمة الثقافة الشعبية تتلخّصُ في وِعائها الذي تحوي على الطرحَ ألهوياتي وكشفُ البُعد الحضاري لكلّ أمّة، ومن ثمَّ فإنَّ الاهتمام بها في مظهرها المادية والمعنوية هو اهتمام بأصالة الشّعب حضاريا وبأصوله التاريخية ثقافياً، فقد بات ضروريا الحفاظ على مواد الثقافة الشعبية وصيانتها من كل زيف معاصراتي أو تشويه انفتاحي، فالثّقافة الشعبية مرتبطة بالهوية الوطنية وهي في حقيقة الأمر وجود الشخص أو الشعب من خلال مواصفات صرفة به، وأيضا هي بناء يُمكن إدراك صاحب الهوية بعينه دون أن يتشابه مع أقرانه، إلاَّ أنّه وفي ظلّ وضع سياسي وإيديولوجي حالي يعيشه العالم العربي ومثقّفيه فهل بإمكان الثقافة الشعبية مواجهة مستقبل تريد العولمة الثقافية فرضه من خلال نموذج أوحد واحد على حساب ثقافات الشعوب؟ وهل يمكن لها مقاومة أذرع التّحديات الكبرى من وسائل الاتّصال الحديثة جاعلةً من المجتمعات لا تستطيع الاحتفاظ بخصوصياتها الثقافية في مظاهرها المادية والمعنوية والسلوكية؟ ناهيك عن تسربات جبهة الماضي وما ألصقه الاستعمار بالثقافة الشعبية من أوصاف خاطئة وخطيرة…
واهتمام المستعمر بالثقافة الشعبية المحلية فذلك كان نابع من أطماعه الاستيطانية والإيديولوجيات لذا جاءت الكتابات عن الثقافة الشعبية المحلية بمبررات الهيمنة والاستعباد، مما خلق ذلك محاولات صد من المفكرين المغاربة للدّفاع عن ثقافتهم الشعبية وتثبيت عناصر هويتهم الوطنية، ومع أنّ للأمّة الجزائرية ثقافتها الشعبية وتشكيلاتها المتعدّدة من جذور واحدة فقد أدركت ذلك بأعلامها الذين بهم اكتشفت كُنه وخصائص موروثها الثقافي ومنهم “محمد بن العربي بن محمد أبي شنب الجزائري” الأديب الباحث، وأحد أعلام المغرب العربي النابهين في نهاية القرن التاسع عشر وبداية القرن العشرين، وأحد رواد النهضة العربية الحديثة، ومن العلماء الذين أسهموا بقسط كبير في حماية التراث الوطني بقسميه المادي والمعنوي في مرحلة تعرضت فيه الجزائر لمحاولة طمس عناصر هويتها الوطنية بأقلام متشددين استعماريين كان هدفهم الاحتلال والسيطرة على مقدرات الجزائر وشعبها، فقد أدرك “بن أبي شنب” أهمية التراث الثقافي للأمّة الجزائرية ودوره الكبير في الحفاظ على تماسكها واستمرارها، فالتفت إلى التراث الشعبي باعتباره الوسيلة التي بقيت للجزائريين في نقل خبرات حياتهم ومحاربة سياسة الطمس، والتغريب، والتجهيل، وفي رد كل الممارسات التي أبانت عليها الإدارة الفرنسي المُستعمِرة بعنف ووحشية، من هنا جاء اهتمامه بالموروث التراثي الجزائري كسلاح يذود به عن بني جنسه.
“عراقةٌ في الجذور وصفاء في النسب“
ولد محمد بن أبي شنب سنة 1869 في مدينة “المدية” جنوب الجزائر العاصمة، وكان والده من أهل اليسر وأعيان الزارعين منشغلاً بأراضيه وأملاكه الخاصّة، ونشأ في ظلّ الاحتلال الفرنسي وعاش في حجر والديه موقراً مقدماً على أترابه لما كانت له من كياسة الرأي واستقامة السلوك، ألحقه والده مع شقيقه “أحمد” بكتاتيب تعليم القرآن فأخذ كتاب الله عن شيخه “أحمد برماق” قبل أن يلتحق بمدرسة المدية الثانوية، ليتعلم اللّغة الفرنسية والعلوم الغربية وفق المنهج المفروض من قبل سلطات الاحتلال، ثم انتسب إلى دار المعلمين “بوزريعة” بأعالي الجزائر العاصمة سنة 1886، وتخرج منها حاصلاً على إجازة تعليم اللّغة العربية والعلوم الفرنسية في “المدارس الابتدائية الوطنية” في “قرية سيدي علي” قرب المدية تعرف حاليا باسم “وامري”، ثمّ بمدينة “جندل” فدرس وعلم فيها أربع سنين لينتقل إلى الجزائر العاصمة دارسا على يد الأستاذ الشيخ “عبد الحليم بن سمانة”، إذ أمضى عشر سنوات شُغِل فيها بالتعليم وتحصيل علوم اللغة العربية واستدراك ما فاته منها، فقرأ النحو والصرف والعروض، وشيئاً من علوم الدّين، وتقدم بما حصله إلى مدرسة الآداب العليا فنال إجازتها وتولى التعليم في مدرسة “الآداب” بمدينة قسنطينة سنة 1898 خلفا عن شيخها الأستاذ “عبد القادر المجاري”، فدرّس علوم اللغة العربية والأدب والفقه والبيان، وبقي قائماً بها حتى سنة 1901 حيث عين مدرسا بالمدرسة “الثّعالبية” بالعاصمة في مقام الشيخ “عبد الرزاق الأشرف”. وبعد أن أمضى في وظيفة التدريس هذه إلى غاية سنة 1924 عين أستاذاً رسمياً في “كلية الآداب الكبرى” بالعاصمة عوضاً عن “م. كولان” تاركا المدرسة الثعالبية بعدما قضى فيها معلماً ومرشداً ناصحاً مدة 23 سنة، ومنها ارتقى إلى القسم الأعلى من هذه المدرسة فقرأ فيها النحو والأدب والبلاغة والمنطق، وفي أواخر عام “1922م” تقدم إلى كلية الآداب الجزائرية ببحثين للحصول على درجة الدكتوراه في “حياة أبي دلامة وشعره” و”الألفاظ التركية والفارسية الباقية في اللهجة الجزائرية” فمُنح درجة الدكتوراه وكلف بالتدريس في الكلية، وقد برز في مجتمعه كشخصية مثقفة موسوعية مهتمّ بعدّة معارف كالبلاغة والمنطق والتحقيق واللّسانيات والأدب ورُزق القدرة التحصيل والصبرً على البحث والرغبة في الإفادة، ومع قوّة ذكائه ونبوغه على الحفاظ جعلاه يستوعب علوماً كثيرة من الثقافتين الغربية والأجنبية ويتدرج في مراتب العلم إلى أن حل أعلاها بجهد ذاتي دءوب وثقة كبيرة بالنفس، وقضى حياته في التدريس والبحث إلى أن وافته المنية سنة 1929.
“نافذةُ للجمعِ والتحقيق وأفقُ للتأصل والتحصيل“
يرى المؤرخون في محمد بن أبي شنب أنّه الرجل الذي جمع بين أصالة المظهر ورحابة الفكر، وبين قوّة الحجّة وبلاغة اللّسان، وفي تنوع العلوم وغزارة التأليف، فقد جاءت مؤلفاته بالتنوع رصدت كثير من المجالات، في الفقه والأدب وعلوم الدين واللسانيات والسّير الذاتية والتراجم والتاريخ والأمثال الشعبية والتحقيق في المخطوطات وفي المطبوعات والترجمة من وإلى العربية بحكم تمكنه من عدّة لغات، حيث جمع ابن أبي شنب بين الثقافتين العربية والغربية فأتقن اللغتين العربية والفرنسية وأَلَمّ باللغات الأوروبية من القديمة كلاتينية وحديثة من إيطالية وألمانية وإسبانية، وفي لغات الشرق من الفارسية والتركية. كما أخذ عن المستعمرين الفرنسيين علومهم وطرائقهم في الدرس وعن مناهجهم في البحث والتدوين، مما مكنه هذا الجمع امتلاك عدّة البحث العلمي لخدمة التراث العربي فتعمق في علوم اللغة العربية وأحاط بالأدب العربي وعمل مع أهل الثقافة العربية والمشتغلين بها من مستشرقين. كما يذهب بعض الباحثين إلى القول إنّ الرجل قدّم أبحاثا بلغة المستعمر ذاته ليوضح فيها الهوية الثقافية المتميزة للشعب الجزائري التي تختلف كلية عن ثقافة المُستعمِر حتى وإن حاولوا أن يدمجوها بالقوّة والاستيطان، وعلى أنه بالرغم من تبوئه مناصبا علمية هامة إلاَّ أنّه بقي متواضعا محافظا على شخصيته وهويته، هذا ما يؤكده العلامة “محمد كرد” عنه بإعجاب قائلا “شاهدته يخطب بالفرنسية في مؤتمر المستشرقين وهو في لباسه الوطني: عمامة صفراء ضخمة، وزنار عريض، وسراويل عريضة مسترسلة، ومعطف من صنع بلاده، فأخذت بسحر بيانه واتساعه في بحثه”.
كان ابن أبي شنب يجمع صفات العالم إلى صفات الصلاح، وعُرفَ عنه بكرم النفس ورجاحة العقل، وبالعفّة والاستقامة، ولطف المعشر، والمسارعة إلى مساعدة الآخرين، فكان صورة صرفة للنموذج العربي المعاصر وللأديب العربي الحداثي الذي يعرف كيف يضطلع بالمناهج الأوروبية في البحث والتحصيل من غير أن يفقد شيئاً من مقومات هويته الجزائرية ومكوّنات شخصيته العربية المسلمة، هذا ما جعله يكتسب احترام المثقفين العرب والأوربيين وتقديرهم له، فانتخب في عام “1920م” عضواً في “المجمع العلمي العربي بدمشق”، وحاز على عضوية “أكاديمية العلوم الاستعمارية بباريس”، وفي سنة “1922م” قلدته حكومة فرنسا وسام فارس جوقة الشرف تقديراً لجهوده في التقريب بين الثقافة العربية والثقافة الفرنسية، وكانت له مكانة كبيرة عند المستشرقين حيث يرجعون إليه في الأمور التي تشكل عليهم عسر في الفهم أو التحليل فجعلوا له اسم “شيخنا” ينادونه به تقديرا لمكانته العلمية والأكاديمية.
“عالم في آثاره وإصلاحيٌ في اجتهاده“
بحث العلامة محمد بن أبي شنب كثيراً في مستعصيات وغوامض المسائل وقضى حياته على العمل الميداني في المجال العلمي، وكان ينشر البحوث القيمة في الدوريات العربية والأجنبية ويضع المؤلفات باللغتين العربية والفرنسية، ويُخرج كنوز التراث العربي من خباياها فحقق عدداً كبيراً من كتب التراث في اللغة والنحو والأدب والتاريخ والتراجم، فضلاً عن البحوث الميدانية في التراث الشعبي الجزائري واللّهجة الجزائرية، وشارك في صنع فهارس المكتبات التي تحوي مخطوطات عربية، ولم يخرج في كل بحوثه عن المنهج العلمي الرصين، فأسدى للثقافة العربية خدمة جليلة بإخراج تراثها من ناحية، وبتصويب رأي المستشرقين فيها من ناحية ثانية، وعرف عن ابن أبي شنب أنّه أقرض الشعر وسلك فيه مسلك العلماء وخاض في معظم فنونه عدا الهجاء، ومنه قصائد كانت ليستنهض بها أمّته وبني جلدته للأخذ بيد العلم ورفض التخاذل والانصياع لنزوات النفس والذلّ. أنتج الرجل جراء تفانيه وجديته ما يزيد على خمسين كتاباً في سائر العلوم المتداولة عند العرب وعند الغرب، وفي العادات والتقاليد الموروثة بمنطقة المغرب العربي على الخصوص، وقد أحيا بعض التأليف بالنشر والتحقيق وبعضها بالتنقيح والتصحيح أو بالشرح والتعليق، فمن مصنفاته المطبوعة كتاب: “تحفة الأدب في ميزان أشعار العرب (1906-1928)”، “شرح لمثلثات قطرب (1906)”، “الأمثال العامية الدارجة في الجزائر وتونس والمغرب من 3 أجزاء (1907)”، “جرائد العقود في فرائد القيود (1909) وغيرها من الكتب والمؤلفات، وقد حقّق وصحّح العديد من كتب التراث العربي منها: “البستان في ذكر الأولياء والعلماء بتلمسان لابن مريم التلمساني (1908)”، وكتاب “أبو دلامة وشعره (1924)”، و”ما أخذه دانتي من أصول إسلامية” مطبوع بالفرنسية، وكتاب “الألفاظ التركية والفارسية الباقية في اللهجة الجزائرية”، و”طبقات علماء إفريقية لأبي ذر الخشني (1915)” مع ترجمة فرنسية، وشرحاً لكتاب “جمل الزجاجي”، وشرحا لديوان “عروة بن الورد لابن السكيت (1926)”، و”عنوان الدراية في من عرف من علماء المائة السابعة في بجاية للغبريني (1910)”، وكتاب “نزهة الأنظار للورثيلاني”، و”البستان في علماء تلمسان”.

dimanche 7 janvier 2018


C. Martyr Mohamed Belhassen
A été assassiné par des criminels, ennemis de la patrie et la religion le vendredi 07 Janvier 1994, juste après la prière du vendredi, des bénédictions des musulmans tués à la porte de la mosquée a été évacué à l'âge de soixante-trois (63) ans que Dieu ait pitié de lui.
La miséricorde d'Allah ait son âme et le parfum
Définition et introduction: c'est Muhammad bin Muhammad bin Mustafa Ben Mohamed Ben Allal, alias Bblhassan, et sa mère Khalada Crimée - puisse Allah avoir pitié -.
Date et lieu de naissance: Né à l'aube du 24 Avril Mdalh équipe de 1931, le trône du fils du mandat de Jacob Alamaria Municipalité de Médée.
L'éducation: Il a grandi dans une famille honnête, pauvre décente héritée des traditions d'Achraf et nobles valeurs traditionnelles, l'amour de la science et la religion et la nation, a contribué à la révolution écrit une contribution efficace dans tous les domaines, et fait leur travail de mieux à faire à sa religion et son pays, comme le nombre des martyrs de cette famille de seize martyrs d'entre eux trois frères.
Sa carrière et ses études: le Coran dans les écoles coraniques à l'âge de ne pas plus de onze ans mosquée Mdalh, a également étudié l'arabe et les principes de la jurisprudence et de la Sunna et les commandants de la langue arabe et des arts de la religion islamique.
Éducation: l'avantage de lire les dix romans Coran, et préserve le corps de M. Khalil, le fils du propriétaire et de l'Alojromeh Millénaire par cœur.
Obtenir un certificat de la fatwa de Cheikh Mufti Malékites la Grande Mosquée d'Alger avec les honneurs.
Il a étudié à l'Université de Swat Algérie trois, Faculté des Lettres et Sciences Humaines de 1970 à 1973.
Aînés et enseignants) la miséricorde de Dieu  C, cheikh Taher, et son père, Mohammed ben Mustafa Mdalh mosquée, le cheikh Tayyib Wazzani angle Wazzana, Grand Mufti Cheikh Baba AAMR Malékites la Grande Mosquée d'Alger.
Ses œuvres et ses effets: un livre est imprimé dans les arts de la science en arabe sous le titre exprimé la faveur.
Son révolutionnaire, scientifique et culturel:
Mujahid a été le guide miséricorde d'Allah pendant la révolution triomphante, où il a rejoint les rangs de l'Armée de libération nationale au mois de Juin 1956, le quatrième état de la région à la seconde extrémité de la Glorieuse Révolution.
Il a ensuite quitté l'Armée de libération nationale en Janvier 1963 et a rejoint le domaine de l'éducation de 1963 jusqu'en 1994.
Imam Khatib bénévoles excellente Bmsadjadan: la première mosquée du martyr C Ibrahim Daly Ben - puisse Dieu avoir pitié de lui - de 1963 à 1983, la deuxième mosquée de Si Ali Khaoh bin - puisse Dieu avoir pitié de lui - de 1985 à 1994, un professeur de langue arabe de 1969 jusqu'au 31 -12 à 1983, le premier Petkmalah Albrooaqah 1969-1973, et la deuxième question complémentaire Shahid Mustafa ben papier - puisse Dieu avoir pitié de lui - de 1974 à 1983.
En outre, depuis 1974, a occupé plusieurs fonctions politiques dans le Front de libération nationale et de la base au niveau de la lutte.
Anntb trois fois dans une rangée dans le peuple de cet Etat et pour une période de quinze ans, où à chaque fois est le premier dans les résultats et que l'excès de confiance des gens dans son intégrité, son honneur et la virilité et la culture.
Soutien islam dans la première période que le premier vice-président de l'Etat niveaux gens dans le second membre d'un conseil provincial dans le premier troisième vice-président de la Populaire de Wilaya de l'Assemblée.
Dans ce dernier a été convoqué en 1992 pour servir des Affaires religieuses Nader du mandat de Ain Defla jusqu'au: 07.01.1994. Mufti délégation algérienne au Hajj en 1993.
Sa personnalité: Il a été la miséricorde de Dieu, la langue couramment, une évidence Jinan bien présent de beaucoup de l'humour, aime l', juste et compatissant pour les pauvres protège les scientifiques vulnérables et le respect et la campagne digne, le Coran, et il détestait Almtntaan et laisser tomber les traîtres et les hypocrites, la clé pour de bon et toujours sur la langue des gens se réjouissent Bavraham et réconfort à leurs malheurs dans Oaqraham , puisse Dieu avoir pitié de lui, et bon repos son âme et faire de la place Paradis repos.
La miséricorde d'Allah et de sa mort: tué par des criminels, ennemis de la patrie et la religion le vendredi 07 Janvier 1994, juste après la prière du vendredi, des bénédictions des musulmans tués à la porte de la mosquée a été évacué à l'âge de soixante-trois (63) ans que Dieu ait pitié de lui.
D'intérêt: Dieu a écrit son témoignage, comme ses trois frères: Rabah, Mustafa et Jalloul qui sont tombés au champ d'honneur pendant la révolution de la bienheureuse.
Vive l'Algérie, la gloire et l'immortalité à nos justes